[ Jeu ] Que suis-je ? (objets insolite)

un petit indice
j ai ete utile pour certains animaux?????????????

j ai pas trouver idiotes certaines reponses au contraire

REPONSE EN FIN DE SEMAINE

un rapport avec les poissons et la pêche comme a dit ludo ?

non rien a voir avec le monde marin
simplement terrien

pour regler des pieges?

pour baguer les oreilles des vaches

Bonsoir Dann,

serai-ce un outil utilisé par un maréchal-ferrant pour nettoyer et gratter les sabots des chevaux ?

A+
Michel

tu as raison michel, c'est un outil de palefrenier de maréchal-ferrent pour nettoyer les sabots des chevaux,

non pas du tout rien a voir avec les sabots des animaux
utilisé par le veterinaire mais dans un but tres precis???????????

Dans ce cas, peut-être un outil de vétérinaire- dentiste pour soigner les dents des ruminants ?

Michel

MICHEL a écrit:

Dans ce cas, peut-être un outil de vétérinaire- dentiste pour soigner les dents des ruminants ?

Michel

en effet je pense aussi à un outil en rapport avec les dentitions animales ...
mais peut-être pas forcément pour les ruminants ...

moi j'aurai pensé plutôt à un outil pour les vignerons, pour nettoyer la vigne

seemania a écrit:

moi j'aurai pensé plutôt à un outil pour les vignerons, pour nettoyer la vigne

dann66 a écrit:

utilisé par le veterinaire mais dans un but tres precis

c'est un couteau de veterinaire pour la saignée des animaux

pinocchio1957 a écrit:

c'est un couteau de veterinaire pour la saignée des animaux

bien joue vero voici la reponse

voici la reponse


BRAVO ....je n en ai pas d autres pour le moment ...........bonne journee

ben dans ce cas la personne qui a mis cela sur le net c'est trompé
http://www.lagitane.com/achat/ancien-outil-de-palefrenier-marechal-ferrant-cheval-o-170117362506.html

jawa.57 a écrit:

ben dans ce cas la personne qui a mis cela sur le net c'est trompé
http://www.lagitane.com/achat/ancien-outil-de-palefrenier-marechal-ferrant-cheval-o-170117362506.html

ben a vrais dire et mon point de vue sur l objet
j opterais pour les deux solutions
etant donné que pour la saignee la partie pointue c est ok mais le reste je ne voie pas trop l utilitee dans la saignee et servirais au marechal-ferrant?????vu qu il en parle
nous le gars qui nous la mis est collectionneur de vieux outils moi je lui fait confiance mais sa n engage que moi
tu a bien fait de reprendre ce sujet cela permet d avoir plusieurs avis

Citation :

ben dans ce cas la personne qui a mis cela sur le net c'est trompé

Effectivement, ce serai plutôt pour les sabots des chevaux, d'après ce lien.

Qui donnera des précisions ?




Michel

pour ma part j'ai trouve ceci



Article de Bernard Givernaud paru dans le N°87 de mai/juin/juillet 2006 :

LES FLAMMES DE VETERINAIRE

Les habitués de brocantes et de salon d’antiquités à la recherche de couteaux anciens auront sans aucun doute remarqué les flammes de vétérinaire.
La flamme, instrument le plus usité dans la pratique de la saignée vétérinaire est formée d’une tige en acier d’une dizaine de centimètres surmontée d’un triangle tranchant.
Le plus souvent dans un étui de laiton ou de corne comprenant trois flammes de tailles différentes, on les trouve également dans une trousse plus importante appelée étui de maréchal. Dans ce cas, deux flammes sont accompagnées d’autres outils à usage vétérinaires : lancette à saigner, bistouri droit, bistouri courbe ou serpette et rénette, instrument servant à curer le pied.
Mais on rencontre parfois la flamme sur les couteaux de poche régionaux à destination des populations rurales : en premier lieu le rouennais, mais aussi le pradel, le langres, le charretier … sans oublier le couteau de cavalier, ancêtre à sa manière du couteau suisse !
Il est par ailleurs étonnant de constater que les couteliers de Thiers ou d’ailleurs ont produit en masse des trousses de laiton sur lesquelles leurs poinçons s’étalent ostensiblement.
Ce qui nous semble d’autant plus remarquable, c’est que cet outil, contemporain de nos plus vieux canifs a su traverser le temps bien mieux que ces derniers du fait d’une utilisation plus réduite. Il en résulte qu’il n’est pas rare de trouver des jeux de flamme du XIX°, voire plus anciens, en très bon état et présentant des marques de toutes beautés.
Citadins que nous sommes, il n’est pas évident de se faire une idée juste de l’usage et du maniement de cet outil si populaire dans nos anciennes campagnes.

LA SAIGNEE

L’usage de la saignée vétérinaire, découle directement des théories et des pratiques de la médecine humaine. La saignée, est un acte chirurgical correspondant à l’ouverture d’un vaisseau dans le but de prélever un certain volume de sang.
Au cours des siècles, la saignée n’a pas toujours été utilisée pour les mêmes indications ni selon les mêmes techniques.
Il faut remonter jusqu’à Hippocrate (460-377 av JC) celui là même qui est à l’origine du serment que prêtent les médecins, pour comprendre l’origine de l’usage de la saignée à travers son système reposant sur l’altération des humeurs de l’organisme.
Galien (131-201) affine et précise la théorie des humeurs et décrits différents tempéraments : sanguins, flegmatiques, colériques ou mélancoliques et les explique par la prédominance d’une de ces quatre humeurs chez l’individu. Tout déséquilibre humoral engendre une pathologie. L’explication de ces déséquilibres tient de l’influence des quatre éléments (eau, air, terre et feu), des quatre qualités physiques (chaud, froid, humide et sec) et de la position de la lune.
Mais malgré ce dogmatisme affirmé, Galien des montre résolument moderne : il préconise la diététique et ses médications reposent sur l’emploi de plantes médicinales et parfois la saignée.
La théorie humorale persistera jusqu’à la Renaissance où elle connut quelques variantes qui donneront à la saignée une place prépondérante dans la médecine tant humaine qu’animale. Les indications sont de plus en plus nombreuses, on l’utilise même à titre préventif. La saignée n’a jamais tord : si le patient expire sous la lancette, c’est que l’intervention a été trop tardive ! Cette démesure est à l’origine des farces de Molière qui dénonceront ces excès médicaux. Les quantités de sang prélevées défient parfois l’entendement : Amboise Paré, Chirurgien français du XVI° siècle retire ainsi 2,5 litres de sang en quatre jours à un homme accidenté. Quelques voix s’insurgent contre ces quantités déraisonnables, mais il faudra plus de deux siècles de progrès scientifiques pour mettre fin aux excès sanguinaires et revenir à quelques médications plus raisonnées.
La médecine vétérinaire, plus lente à abandonner des pratiques ancestrales vivement souhaitées par une clientèle rurale verra ces procédés obsolètes perdurer jusqu’à la seconde guerre mondiale. L’essor des moyens thérapeutiques modernes (chirurgie, chimiothérapie) ne laisse que peu de place à la saignée mais on y recourt parfois à l’aide d’un trocart et pour des indications très précises …

FLAMMES, FLAMMES, FLAMMES …

Il existe différents instruments pour pratiquer la saignée. Si le patient est humain, elle s’effectue à l’aide d’une lancette. En médecine vétérinaire, on lui préfère la flamme puis le trocart. On a vu que l’étui ou chasse renferme généralement trois flammes, utilisées selon l’épaisseur de la peau. La flamme s’accompagne d’éléments indispensables à la réalisation de l’acte chirurgical : en premier lieu le bâton à saigner, sorte de bâte de base-ball en réduction. Cette tige de bois dure à l’extrémité rétrécie pour une bonne tenue dans la main sert à frapper le dos de la flamme. On peut également utiliser le bord latéral de la main (pour les karatékas). Le vase à sang, gradué en litres, permet de connaître la quantité de sang prélevé. Les épingles permettent de refermer la plaie, le porte épingle aide à les mettre en place si besoin. Du fil ou du crin (du patient) maintiennent les épingles. Une cordelette est parfois nécessaire (toujours chez les bovins), pour faire gonfler la veine, mais dans nombre de cas, ce sont les doigts du vétérinaire qui exercent une compression destinée à faire gonfler la veine. La quantité de sang spoliée dépend de l’indication thérapeutique, de l’animal concerné (cheval, bovin, cochon, mouton, chien …), de sa taille, de son âge, de son état d’embonpoint. De même, le lieu d’élection de la saignée dépend du symptôme, les animaux étant généralement saignés le plus prêt possible du siège présumé de la maladie ou de la souffrance.

APERCU HISTORIQUE

Dès 1750, certains Maîtres couteliers parisiens se spécialisèrent dans la fabrication de matériel d’hippiatrie. Jutot, le plus célèbre d’entre eux tenait boutique rue du Louvre et marquait ses flammes à « la croix dorée ».
Mais les premières descriptions de flammes vétérinaires nous viennent du Maître coutelier Jean Jacques Perret et datent de 1772. Elles montrent une implication de la toute récente école vétérinaire d’Alfort (1765) dans la fabrication du matériel. Par la suite, le titre de coutelier officiel sera décerné à certains comme Cochet ou Bertin, couteliers à Paris.
D’autres centres couteliers produiront leurs flammes tels Thiers ou Nogent. A noter, les recherches d’Alain Théry, docteur vétérinaire qui a rédigé un chapitre très documenté sur les flammes thiernoises dans le livre de Marc Prival « Couteaux et Couteliers ».

Nous remercions particulièrement le docteur Gabrielle Doniol-Valcroze pour sa thèse « Histoire de la saignée vétérinaire », consultable en ligne.

ben dis-donc, tu en as trouvé des choses !!!! bravo pinocchio !!!
bon maintenant un plus facile, svp mais pas trop quand même

waouuuuu
merci vero
pour cette explication
qui je pense apporte certaines clarifications a ce sujet

en fouillant ma cave, j'ai retrouvé quelque chose, puis-je mettre la photo ici, et que vous trouviez exactement, car moi j'ai un peu deviné mais pas totalement.

bien sur tu peu le mettre ici........ si d autres personnes en ont ils peuvent aussi
moi jusqu en septembre je ne pense pas en avoir d autres

c parti .....


[img][/img]

la boite de chimiste de gaston lagaffe


je penses à une ancienne valise d'echantillons pour un representant en produits pharmaceutiques

ça chauffe, continue......

peut etre une mallette d eprouvette de parfuns
ou d echantillons

là ça refroidit .....

c'est une malette, avec des échantillons pour ce formé le nez, un peu comme un oenologue

c une idée !!!!!!

ludo était plus près, ça concerne bien la pharmacie, mais laquelle ?????? 160 petites bouteilles !!!!!




[img][/img]

tu as des textes sur les flacons?

et c'est écrit quoi??

se serait pas des variétés de sels?

un indice : c'est écrit en latin !!!!! là je vous aide quand même !!! peut-être parceque j'ai sommeil !!!!

pas du sel, mais bien une poudre blanche, continue, tu y es presque :

pharmacie - poudre blanche - ????????

echantillons de talc

non

réponse demain, réfléchis , on dit que la nuit porte conseil !!!!!!

de l'aspirine alors,

en tout cas des médicaments en poudre

la drogue à ludo

yoyo a écrit:

la drogue à ludo

une valise de laborentin ? (pas sur de l'orthografe )

viens juste d'arriver, partie faire les courses, beaucoup de monde, et il fait très chaud, d'ailleurs mon ordi n'a pas l'impression d'apprécier la chaleur, il coince en permanence, 20 minutes pour ouvrir cette page.
bon pour revenir au sujet :

c'est bien une valise de laborantin, d'autrefois je pense, mais j'aurai voulu que vous trouviez ce qu'il y a dans les flacons, entre parenthèse, il y a 160 flacons et c'est écrit en latin, comme encore maintenant, sauf que dedans c'est de la poudre, ( c'est pas la poudre à ludo, sinon je serai riche , de nos jours c'est présenté autrement dans la vente en pharmacie.

allez un petit effort, vous y êtes presque.

des herbes? des plantes?

yakaguma a écrit:

des herbes? des plantes?

oui et en plus des végétaux, des minéraux, et même du foie et du coeur de canard de barbarie.

bon je vous donne la solution, je pense qu'il fait trop chaud pour chercher !!!!!

échantillons d'un labo homéopathique :

[img][/img]

[img][/img]

merci à ceux qui ont bien voulu jouer avec moi.

tu sais que ce que tu as la, c'est vient de ma ville ( metz) et que en plus mon père connaissais un de la famille Lhening, et moi je connais un des fils et en plus c'est pas très loin de chez moi

jawa.57 a écrit:

tu sais que ce que tu as la, c'est vient de ma ville ( metz) et que en plus mon père connaissais un de la famille Lhening, et moi je connais un des fils et en plus c'est pas très loin de chez moi

tu aurais du trouver alors !!!!



à ton avis c'est ancien ou pas ???? il y a des flacons avec poudre, d'autres avec comprimés, je ne sais même pas qui a apporté ça à la maison, et depuis quand ????

pour moi oui c'est ancien cela date a peu près de 40 ans,

par contre pour te dire qui la apporté et depuis quand, sa je ne sais pas